Larrêt que mon médecin m’avait fait était long, je ne pouvais pas dire que j’avais un rhume ou même la grippe”, se souvient l’ancien commercial, aujourd’hui reconverti dans l Lenvoi de ce document peut être assuré par le médecin par e-mail par le biais de la carte vitale. Si c’est le cas, le salarié ne doit remettre que le volet 3 de l’arrêt du travail à l’employeur. En cas de non-respect du délai d’envoi d’arrêt de travail, la CPAM informe d’abord le salarié du retard et des risques encourus, notamment la retenue financière à la hauteur mettre à jour. ANNICK GIRAUD est à ANDANCE conventionné, carte vitale acceptée. ANNICK GIRAUD est au 4 RUE LIEUTENANT COLONEL MEYRAN à ANDANCE dans le 07340 - Infirmier . Tarifs Non renseigné. Prise en charge Carte Vitale acceptée Conventionné. Paiement N.C. Spécialités et Recommandations + Ajouter une compétence. Compétences à renseigner. Bonjourle médecin du travaille ne prescrit pas des arrêts, mais peut aménage le poste , faire divers choses a se sujet il est toujours un des premiers a consulter en cas de soucis. Je me range aussi a l'avis général, il semble avoir vue un médecin aux hasard, Sivotre médecin y trouve un risque quelconque, il pourra vous donner par exemple, un certificat médical indiquant que vous ne devez pas poursuivre votre travail pendant votre grossesse. Ainsi, votre employeur ne pourra pas refuser. Prouver que l'on n'est plus en état de travailler à Jene ferai jamais la remarque «encore en vacances!» à mon médecin qui vient d’afficher dans sa salle d’attente sa semaine de congés annuels. Je T5xQ. 10% des rendez-vous chez le médecin débouchent sur un arrêt de travail et la décision du praticien est largement influencée par le salarié, selon le chercheur Denis Monneuse. AFP/Thierry Zoccolan Qui décide de prescrire un arrêt de travail, le médecin ou le salarié venu le consulter? La question peut sembler saugrenue. Elle ne l'est pas à en croire le sociologue du travail Denis Monneuse, auteur d'une étude intitulée "La prescription des arrêts de travail par les médecins... et certains patients!", publiée dans la revue Négociations. Le chercheur associé à l'IAE de Paris, qui a travaillé entre autres sur le "surprésentéisme" et le malaise des cadres, analyse le "colloque singulier qui se joue dans un cabinet médical entre un médecin généraliste et ses patients". 10% des rendez-vous médicaux débouchent sur un arrêt, rappelle-t-il, et les salariés participent de plus en plus activement à ces décisions. De quoi renforcer les soupçons de "complaisance" envers les professionnels de santé. Mais dans une part non-négligeable des cas, ce sont les employés qui refusent de s'arrêter... Les salariés jouent, d'après votre étude, un rôle majeur dans la prescription des arrêts de travail. Comment parviennent-ils à influencer les médecins? 90% des salariés qui consultent un généraliste dans l'idée d'obtenir un arrêt de travail ressortent avec. Leur pouvoir tient surtout à leur niveau d'information. Un salarié peut raconter ce qu'il veut au médecin sur ses conditions de travail ; ce dernier n'a que peu de moyens de vérifier que l'ambiance d'une entreprise est bel et bien délétère, qu'un employé est surchargé, etc. En théorie, il pourrait s'en référer au médecin du travail, mais il est très rare qu'il le fasse par manque de temps ou par habitude. Les patients sont aussi de mieux en mieux informés sur les questions de santé, grâce à Internet notamment. Il n'est pas rare qu'ils arrivent chez le généraliste en demandant un arrêt pour telle ou telle pathologie qu'ils auront identifiée eux-mêmes. Il n'y a que sur la durée de l'arrêt que les médecins gardent vraiment la main. Offre limitée. 2 mois pour 1€ sans engagement Qu'est-ce qui pousse les médecins à accepter de négocier et à céder une partie de leur pouvoir? Les médecins les plus généreux en arrêts viennent souvent de s'installer ou exercent dans des régions de forte concurrence entre praticiens. La peur de perdre un patient ou d'endommager la relation de confiance que l'on a nouée peut amener à se montrer conciliant. Différentes visions de la médecine coexistent aussi. Certains généralistes seront sensibles aux difficultés sociales des patients. Ils prendront en compte la douleur, mais aussi d'éventuels problèmes familiaux, dans l'idée qu'ils sont là pour aider les gens à vivre. D'autres considèrent au contraire que ce n'est pas leur rôle. Ils refusent de négocier pour préserver l'aura traditionnelle du médecin et son autorité. Comment ont réagi ceux que vous avez interrogés? Etaient-ils à l'aise avec ce sujet? Oui, car prescrire un arrêt de travail est pour eux une réelle difficulté, à laquelle leurs études de médecine ne les ont pas formés. Il ne s'agit plus de détecter des symptômes ou de prescrire des médicaments, mais d'entrer dans un rapport humain et psychologique avec le patient. Beaucoup craignent de sous-estimer le temps de repos nécessaire au malade. Prescrire un arrêt a souvent un effet psychologique bénéfique ; le refuser peut aggraver l'état de santé du patient. Tout dépend aussi du temps que les généralistes passent en consultation. En dix minutes, ils n'auront pas le temps de s'éterniser dans une négociation. L'assurance-maladie essaye de mettre en place des référentiels pour harmoniser la prescription des arrêts en fonction des pathologies. Les médecins n'aiment pas forcément ça, car ils sont attachés à leur autonomie. Mais ils ont aussi besoin de s'appuyer sur des éléments objectifs pour justifier leur choix auprès des patients. Et ils ont conscience du discours de responsabilisation encouragé par les autorités. Vous avez écrit un livre sur le surprésentéisme, un phénomène qui pousse les salariés à refuser de s'absenter quand ils sont malades. Tous ne cherchent donc pas à se faire arrêter à tout prix... Non, j'essaye justement d'avoir une vision équilibrée du phénomène. Il existe des médecins laxistes, mais aussi des généralistes dont les patients rejettent les arrêts prescrits. La négociation se jouedans les deux sens. On le sait moins, mais jusqu'à 15% des prescriptions d'arrêts de travail à l'initiative du médecin sont refusées par les patients. Par peur de perdre de l'argent, par surcharge de travail ou par crainte de passer pour celui qui abuse. Propos recueillis par Alexia Eychenne Les plus lus OpinionsLa chronique de Vincent PonsVincent Pons, avec Boris ValléeLa chronique de Marion Van RenterghemPar Marion Van RenterghemLa chronique de Sylvain FortPar Sylvain FortLa chronique du Pr Gilles PialouxPar le Pr Gilles Pialoux Les français bénéficient d’une couverture sociale que bien d’autres pays leur envient. Mais, le temps aidant, cette couverture sociale est de plus en plus mise à mal. Du fait de l’abus d’un certain nombre, et pour des raisons économiques malheureusement évidentes, les contrôles de la Sécurité Sociale vont croissant. Du coup, les médecins sont remis en cause dans le champ de leur autorité. Dès lors, obtenir un arrêt maladie en cas de dépression au travail relève du parcours du combattant. Il est tout à fait possible de bénéficier d’un arrêt maladie pour dépression. Mais cela repose sur des conditions qu’il faut respecter. En conséquence, cet article vous expose 3 situations. Celles-là même dans lesquelles vous pouvez bénéficier d’un arrêt maladie. Pour cause de dépression au travail – ou pas – bien sur. Arrêt maladie pour dépression au travail 3 situationsCauses d’arrêt maladie pour dépression au travailArrêt maladie pour dépression au travail Les aménagements possiblesArrêt maladie pour dépression au travail Des critères très subjectifsArrêt maladie pour dépression au travail Les limites de l’arrêt maladieComment sortir la tête haute d’un arrêt maladie pour dépression au travail?Arrêt maladie pour dépression au travail Le diagnosticArrêt maladie pour dépression au travail Le contrat thérapeutiqueArrêt maladie pour dépression au travail Le traitementArrêt maladie Un suivi personnaliséArrêt maladie pour dépression au travail L’alliance thérapeutiqueArrêt maladie pour dépression au travail Merci pour ce moment… De façon tout à fait légitime, vous pouvez, si ce n’est déjà fait, vous poser la question de savoir suivant quels critères un arrêt maladie peut-vous être délivré. Ci-dessous se trouvent les conditions afférentes à la délivrance d’un arrêt maladie Un arrêt maladie est délivré quand vos symptômes rendent impossible l’exercice d’une activité professionnelle. Imaginons qu’une personne souffre d’une grave dépression. Histoire d’aggraver la situation, la personne intéressée est aussi victime d’une grande fatigue. Laquelle l’empêche d’accomplir normalement ses tâches. Ou explique une absence persistante d’initiative. De problèmes de concentration qui entrainent des erreurs. En plus de troubles ou de perte partielle de la mémoire On remarque également des tensions avec les collègues. Des signes d’irritabilité. D’agacement. Pour toutes ces raisons, être au boulot est un vrai problème pour cette personne. Et aussi pour ses collaborateurs. Comme pour le personnel en général. Cette personne a du mal à se supporter elle-même. Comme à supporter les autres. Inconsciemment, elle se fait du mal. Et – accessoirement – ruine la qualité de son travail. Causes d’arrêt maladie pour dépression au travail D’autres facteurs rentrent en ligne de compte comme les pensées suicidaires, des problèmes d’insomnie. Et aussi des suspicions de burnout, ce fameux épuisement professionnel qui, par les temps qui courent, nous guettent tous. Ce sont autant de causes de dépressions au travail lesquelles sont identifiés par la médecine du travail et/ou votre médecin traitant. Comme disent les juristes, par ces motifs… », un arrêt maladie est remis quand le médecin prescrit des médicaments de type anti-dépresseurs. De ce fait, l’exercice d’une activité professionnelle devient difficile. Voire dangereux. Et ce à cause des effets secondaires somnolence. Considérant cette prescription, conduire pour aller au travail, ou conduire d’une façon plus générale, est déconseillé pendant la durée du traitement Un arrêt maladie est prescrit quand vous rendre sur votre lieu de travail accroit votre médecin cherche donc à vous tenir éloignée de cet environnement. A la condition qu’il le juge toxique pour vous. Votre médecin cherche donc à vous protéger. C’est sa fonction même en ce qui concerne la gestion des risques psychosociaux et, partant, tout ce qui concerne la souffrance au travail. C’est aussi le rôle de la médecine du travail. Laquelle, en plus de son rôle préventif permet ou non la reprise du travail. Accessoirement, c’est cette même médecine du travail qui peut envisager une maladie professionnelle laquelle justifie des problèmes de santé mentale en lien avec les conditions de travail. En effet, un lien fort est susceptible d’être établi entre votre problème et un stress professionnel. Arrêt maladie pour dépression au travail Les aménagements possibles Malgré ces dispositions d’ordre médical, un arrêt maladie ne dure pas. Tant pour des raisons économiques que sociales. Notre société, fort normative, considère que travailler c’est bien. Voire, que le travail fait partie intégrante de la notion de rétablissement. Au sens où celui-ci est nécessaire. Ceci afin que de vous aider à retrouver un comportement d’ensemble qui vous rassure quant au fait d’être comme tout le monde. Partant, de ne pas être à la marge pour des raisons médicales. Est-ce à dire que notre société n’accepte pas que nous puissions être heureux sans travailler? A la condition qu’économiquement cela nous soit possible. D’une façon générale, le travail fait partie intégrante du quotidien. Sur la foi de ce que pensent beaucoup de gens, dont les professionnels de la santé, il faut intégrer le travail dans le processus de guérison. Dans la pratique, on a généralement plusieurs entretiens avec le médecin de travail. Ils favorisent une réinsertion dans la vie professionnelle. Ou facilitent la mise en place d’un processus d’adaptation. Ou de changement. Dans certains cas ayant fait l’objet d’un arrêt maladie plus ou moins long ex longue maladie, il est possible d’aménager un retour à l’emploi à l’aide d’un mi-temps thérapeutique. Cela signifie que vous travaillez à mi temps. Mais vous êtes rémunérée à temps plein. Cela fait l’objet d’un aménagement administratif entre votre employeur et la Sécurité Sociale cf. indemnités journalières. Arrêt maladie pour dépression au travail Des critères très subjectifs Pour bénéficier de cet aménagement, il faut obligatoirement l’avis du médecin traitant. Et du médecin-conseil de l’Assurance Maladie. A terme, l’objectif est la reprise de l’emploi précédent à temps complet. Quand c’est possible. Quelle que soit la situation dont il s’agit parmi les trois présentées ci-dessus, la durée d’un arrêt maladie n’est pas standardisée. De la même façon qu’il n’existe pas de type standard de dépression au travail. Sur la foi d’un certain nombre de critères évalués par votre médecin traitant, un arrêt maladie peut vous être délivré pour une période de 7 à 15 jours minimum. Cet arrêt maladie est renouvelé autant de fois que nécessaire. Jusqu’au moment où la Sécurité Sociale y met son veto. Celle-ci vous demande alors de rentrer dans un cadre administratif plus spécifique. Longue maladie. Inaptitude à l’emploi. Etc.. Dans les cas les plus fréquents, la durée de votre arrêt maladie peut être prolongée de quinzaine en quinzaine. Voire être prorogé pendant 12 mois. Dans de rares cas, il est possible d’obtenir un arrêt maladie de 6 mois dès la première consultation. Quoi qu’il en soit, au terme du congé maladie, seul le médecin est habileté à évaluer la personne. Cela permet de préciser si la personne dépressive est apte ou non. Apte à occuper ses fonctions dans l’entreprise. Ou l’administration qui l’emploie. Arrêt maladie pour dépression au travail Les limites de l’arrêt maladie Au sortir d’un arrêt maladie lié à une dépression au travail, il est fréquent que les symptômes de dépression réapparaissent après quelques semaines. Ou quelques mois. Le plus souvent, la raison en est que la personne mise en arrêt maladie n’a pas fait l’objet d’un suivi psychologique. Ou n’a pas été invitée à consulter un psy. Dès lors, la seule prise de médicaments associée à l’arrêt maladie ne constitue pas une solution. Dans les temps troublés que nous traversons tous, autant en termes économiques que professionnels, la situation sociale est on ne peut plus instable . Grève des cheminots. Grève à Air France. Loi Travail, etc. L’environnement professionnel reste donc un milieu stressant. Un milieu où les challenges, et les risques de toute nature, sont omniprésents. Quel que soit votre secteur d’activité, il devient difficile d’échapper à une éventuelle délocalisation. Ou à la peur du chômage. Le niveau élevé de compétitivité entre les acteurs des marchés. La pression et les exigences quasi permanente des fournisseurs et des clients. Les surcharges de travail – fruits de réductions des personnel -, sont autant de facteurs susceptibles de générer ce que l’on appelle les maladies du stress . Comment sortir la tête haute d’un arrêt maladie pour dépression au travail? Si vous avez lu divers articles de mon blog, vous savez combien les médicaments ne vous aident à traiter une pathologie psychique. Au mieux, cela contient vos symptômes . Mais ne résout rien. Pendant votre arrêt maladie, à plus forte raison s’il est lié à une dépression au travail, la meilleure solution est de recourir à l’approche comportementale. L’efficacité de cette approche thérapeutique n’est plus à prouver. Mais, pour le plaisir, je vous rappelle que plusieurs études scientifiques en ont fait état. Et toujours pour mémoire, vous trouverez ci-après les 4 principales étapes de cette approche. Arrêt maladie pour dépression au travail Le diagnostic Grâce à un questionnaire structuré, vous prenez pleinement conscience de votre problème. Et, partant, de son mécanisme. Ce diagnostic vous permet d’avoir une vision très précise de l’ensemble de vos comportements. Comme de quelle façon, à votre insu, votre problème vous envahit. Puis prend le contrôle sur vous. Ainsi, dans le cadre de ce programme thérapeutique, la plupart des ses membres font diminuer leur symptômes de 40% en moins de 10 jours. Ce grâce à la qualité de ce travail objectif. Ce diagnostic vous permet d’identifier les réactions inappropriées que vous avez en situation. Il met à jour les comportements réponses qui posent problèmes. Cela facilite la mise en place d’une démarche thérapeutique et stratégique. Cela vous aide à éliminer votre problème. Dès lors, vous retrouvez équilibre mental et mieux-être. Arrêt maladie pour dépression au travail Le contrat thérapeutique Pour que cette approche comportementale vous soit efficace, cela nécessite que vous soyez en accord avec les exercices. Il est donc nécessaire d’en comprendre tant les modalités pédagogiques que les objectifs. Il s’agit donc, en amont, de mettre en place un climat de confiance. Lequel rend plus fluide votre travail thérapeutique. Comme votre suivi thérapeutique. Pour information, c’est précisément ce qu’il se passe dans le cadre du Programme thérapeutique ARtUS. Ainsi, vous faites l’objet d’un suivi personnalisé. Dans cet esprit, les objectifs à atteindre, les moyens comme les outils à utiliser, et les délais impartis, vous sont précisés. Arrêt maladie pour dépression au travail Le traitement Qu’il s’agisse ou non d’une dépression au travail, le traitement consiste en la mise en place d’exercices mentaux. Ils ont pour vocation à débloquer les réactions émotionnelles qui sont les vôtres. En effet, la plupart du temps, face à un problème, nous réagissons sur la foi de nos peurs de perdre le contrôle. Or, ce comportement réactif nourrit et enrichit le problème. Arrêt maladie Un suivi personnalisé Vous allez donc apprendre à modifier vos comportements de façon naturelle. Cela signifie que vous n’avez à suivre aucun exercice d’exposition. Au contraire de la TCC thérapie cognitive et comportementale. Vous suivez les exercices thérapeutiques qui vous sont confiés de chez vous. Ou de n’importe quel lieu de votre choix. Cela ne vous prend pas plus de 15 minutes par jour. Arrêt maladie pour dépression au travail L’alliance thérapeutique Le traitement comportemental repose sur une relation de collaboration. Un suivi est effectué à chaque étape pour constater les progrès enregistrés. Et aussi trouver des solutions aux difficultés rencontrées. Ainsi, dans le cadre de votre programme thérapeutique comportemental, vous bénéficiez d’un outil d’évaluation quotidien et hebdomadaire. Il est fort simple à utiliser. Vous accédez aussi à un forum interne sécurisé. Celui-ci vous permet de me solliciter autant que de besoin. Autant d’éléments de soutien et d’accompagnement qui font que les possibilités de rechute sont particulièrement faibles. Voire inexistantes. Enfin, à l’aide de ce programme, le traitement ne dure pas plus de 6 et 8 semaines. Arrêt maladie pour dépression au travail Merci pour ce moment… Il est donc acquis que la dépression au travail ouvre droit à un arrêt maladie. Dès lors, je vous conseille de mettre à profit ce temps qui vous est offert » pour débuter un travail comportemental. Et, ainsi, retrouver votre sérénité. N’oubliez pas qu’un formulaire est à votre disposition en-dessous de cet article pour exprimer vos commentaires, ou expérience, en lien ou non avec un arrêt maladie pour dépression au travail. Merci de votre intérêt et de votre confiance. Article rédigé par Frédéric Arminot, coach comportemental Spécialisé dans le traitement des problèmes dangoisse, d’anxiété, de dépression, de phobie, et de toc, il exerce depuis plus de 25 ans en qualité de comportementaliste. Ancien grand anxieux, et victime d’angoisses aux multiples conséquences des années durant, il a créé un programme de thérapie comportementale en ligne Le Programme ARtUS Cette méthode thérapeutique résout 16 cas sur 17, soit + 95 % de résultats. Frédéric Arminot Bonjour, je me permets de reprendre ce thème...car je rencontre la même interrogation à propos des arrêt maladie. C'est un peu lon mais je vous ai mis l'essentiel en rouge lol J'ai beaucoup d'angoisses par rapport aux boulot et cela devient de plus en plus invivable et surtout c'est le cercle visieux je suis jeune pro sur un site de travail à flux constant, ou chacun est débordé, et je vois les dossiers s'accumuler surtout depuis trois semaines, d'ou les angoisses qui me paralysent pour avancer, ...je ne maîtrise plus rien, en ce moment...et plus de motivations. J"en ai parlé à ma cadre qui comprend ma situation et est très inquiète pour moi et m'a plus ou moins incité à me faire arrêter en m'expliquant qu'il s'agit non plus de fuite mais de survie. Une de mes collègue ainsi que mes parents pensent la même chose. Seulement voilà je touche mes limites et je suis allé voir deux medecins généralistes en attente du RDV psychiatre car je ne me suis pas senti d'aller au boulot ces deux mercredi derniers. Tous les deux très préssés, normal ils ont du travail. Le premier m'a arrêté un jour car il y avait le pont du 1 mai et le deuxième deux jours car idem jours férié. Il a beaucoup relativisé mon "cas" en me disant qu'il n'étais pas inquiet pour moi, que tout le monde passait par là, que je pourrais peut être emmené du travail chez moi ! Il m'a fait une séance d'acupuncture sans me le dire ni me l'expliquer et m'a donné des plantes millepertuis et homéopathie. Je lui ai dit que moi j'étais inquiète pour moi car le boulot était devenue une hantisse et que j'ai des idées noires, que cela se répercute sur ma vie perso. Je n'ai évidemment pas pu tout lui dire, manque de temps mais quand même expliqué que j'ai eu un épisode dépressif en Octobre novembre avec arrêt. Mais arrêt de deux jours, soit au total six jours de repos, certes mais j'espérais beaucoup plus , et me suis sentie imcomprise ...il a voulu me booster seulement ça fait plus de deux semaines que je me fais violence. Mes parents sont aussi surpris et inquiets. Ma mère voulais que j'aille voir son medecin de campagne qui me connaît bien. Dois je allé voir un troisième généraliste ? pas envie de quémander un arrêt maladie... Qu'en pensez vous ? Merci pour vos réponses Pendant les différentes périodes précédant le reclassement ou le licenciement pour inaptitude, le salarié passe par des périodes sans salaire. Des solutions existent cependant lorsque l’origine de l’inaptitude, envisagée ou confirmée, est professionnelle, mais aussi en pratique si l’origine de l’inaptitude est de ces de l’incapacité ou inaptitude d’origine professionnelleAprès un arrêt de travail pour accident du travail ou maladie professionnelle, le salarié en situation d’incapacité ou d’inaptitude d’origine professionnelle peut recevoir jusqu’à son reclassement, ou son licenciement les indemnités journalières de la Caisse Primaire prévues par l’article L 433-1 du Code de la sécurité sociale. Cet article indique que l’indemnité journalière peut être rétablie pendant le délai [de suspension du salaire] mentionné à l’article L. 1226-11 du code du travail lorsque la victime ne peut percevoir aucune rémunération liée à son activité salariée. »Naturellement, lorsque passé le délai d’un mois après l’avis d’inaptitude, le salaire est à nouveau versé, il n’y a pas de cumul entre salaire et indemnité journalière. Le versement de l’indemnité cesse aussi lorsque l’employeur procède au reclassement dans l’entreprise du salarié inapte, ou le licencie, avant le délai d’un en savoir plus, en cas d’accident du travail ou de maladie professionnelle, voir L’indemnité temporaire d’inaptitudeLa seule déclaration d’inaptitude du salarié par le médecin du travail n’est ni un arrêt maladie ni une décision déclenchant un complément par l’employeur de l’indemnité journalière de la sécurité sociale. En conséquence, l’employeur n’a pas, sauf si la convention collective le prévoyait expressément dans ce cas, à compléter l’indemnisation du contre, si le salarié produit un certificat d’arrêt de travail établit par le médecin traitant, il bénéficie du complément employeur dans les conditions posées par la convention collective ou la solution de l’arrêt de travailQue ce soit entre les deux visites à la médecine du travail, ou après le prononcé de l’inaptitude, pendant le premier mois ou ensuite, s’il n’est pas encore reclassé ou licencié, le salarié concerné peut être arrêté par son médecin traitant et produire un certificat d’arrêt de travail à son employeur. Il faut naturellement que le médecin traitant accepte de décider un nouvel arrêt de contre, le salarié ne doit pas être en arrêt de travail lors d’une visite de reprise, ou lors de l’examen médical à l’issue duquel le médecin du travail prononce l’inaptitude du salarié. Mais, en dehors du jour de la visite de médecine du travail et de celle débouchant sur le prononcé de l’inaptitude, l’arrêt de travail n’a pas d’incidence sur la procédure de déclaration d’inaptitude, de reclassement ou de licenciement pour solution d’arrêts de travail par le médecin traitant est souvent la meilleure solution pour permettre aux salariés en attente de la décision du médecin du travail, ou déclarés inaptes, pour cause non professionnelle, d’avoir des indemnités pendant la période de suspension de la rémunération par l’employeur. Elle peut aussi être une bonne solution pour les deux parties, salarié et employeur, notamment dans l’attente de la visite de reprise, si l’employeur complète bien les indemnités de sécurité cas d’arrêt de travail, l’employeur doit-il verser un complément de salaire ?L’envoi par le salarié d’un certificat d’arrêt de travail de son médecin traitant, à l’issue de la première ou de la seconde visite médicale, lui permet de percevoir le complément employeur dans la limite des droits à complément dont il dispose voir les durées d’indemnisations fixées en fonction de l’ancienneté, par la convention collective et à défaut par la loi. L’employeur a toutefois la possibilité de décider le versement d’un complément de l’indemnité, au-delà des droits normaux du salarié. Pour les périodes durant lesquelles l’employeur devrait payer le salaire sans arrêt maladie, l’employeur peut comme le salarié y trouver un possibilité de poser des congés payésLe salarié peut aussi poser des congés payés auxquels il a droit, éventuellement par anticipation, et l’employeur peut les accepter. Cette solution est souvent utilisée pour éviter que le salarié subisse une perte de salaire. Mais, l’employeur ne peut pas obliger le salarié à utiliser cette solution et le salarié ne peut pas non plus obliger l’employeur à l’ en savoir plus, voir L’indemnité temporaire d’inaptitudeRetrouver la page catégorie Indemnités, préavis et chômageAccès à la page 1 du site Licenciement pour inaptitudeArticle rédigé par Pierre LACREUSE, Sciences-Po Paris, licence en droit et DESS Université de Paris I Panthéon-Sorbonne, ancien Directeur de la Gestion du personnel et des Relations Sociales, DRH, puis chef d’entreprise PME, aujourd’hui éditeur juridique et relations humaines sur site gratuit est financé par la publicité, merci de nous sites recommandés dans un domaine différent Rupture conventionnelle et Abandon de réponses sur les solutions à la suspension du salaire pendant la procédure d’inaptitudePuis je me faire mettre en arrêt de travail en attendant le licenciement ou le reclassement ? SabineBonjour,J’ai été déclarée en inaptitude non professionnelle après les 2 visites médicales prévues. J’ai épuisé mon solde de congés payés. Puis je me faire mettre en arrêt de travail en attendant le licenciement ou le reclassement ? Si c’est cas, un arrêt de 30 jours, ou 2 fois 15 jours ?Je vous remercie par avance de votre réponse. AdminBonjour,Oui bien sûr, vous avez intérêt à ce que votre médecin traitant vous mette en arrêt la durée, voyez avec votre médecin ; c’est à lui de décider. Le plus simple est de lui expliquer la est la meilleure solution pour les salariés en attente de la décision du médecin du travail, ou déclarés inaptes, pour cause professionnelle ? FredBonjour,Bravo pour ce site très complet, voici ma question j’ai lu dans un article La solution d’arrêts de travail par le médecin traitant est souvent la meilleure solution pour permettre aux salariés en attente de la décision du médecin du travail, ou déclarés inaptes, pour cause non professionnelle, … pendant la période de suspension de la rémunération. Elle peut aussi être une bonne solution pour les deux parties, salarié… » qu’en-est-il lorsque l’inaptitude est d’origine professionnelle ? AdminBonjour,Je suis d’accord sur le fait qu’en l’absence de rémunération devant être versée par l’employeur et en l’absence d’indemnité temporaire d’inaptitude ITI, à laquelle le salarié a droit pendant le mois qui suit un avis d’inaptitude d’origine professionnelle, des arrêts maladie sont une solution. Mais l’ITI solutionnant l’après avis d’inaptitude, sauf si l’origine est contestée, la problématique se limite aux périodes précédant l’avis d’inaptitude avant la première visite et entre les deux visites, et seulement si l’employeur ne doit pas payer le salaire, ou si vous n’êtes pas sûr qu’il le vous conseille de vous reporter aux articles sur le salaire pour chacune des périodes et sur l’ITI les liens se trouvent sur la page catégorie Salaire, indemnités, préavis et le médecin du travail doit remettre le document d’ITI, lors de la visite médicale durant laquelle il prononce l’inaptitude d’origine médecin ne souhaite plus prolonger mon arrêt, en prétextant des ennuis avec la sécurité sociale. Que faire ? LionelBonjour,J’ai passé ma seconde visite médicale pour inaptitude il y a 15 jours, après 5 mois d’arrêt maladie et mon employeur recherche toujours un poste pour me reclasser. Dans l’attente, je demande à mon médecin de prolonger mon arrêt, mais il ne souhaite plus le faire prétextant des ennuis avec la sécurité faire ? AdminBonsoir,Je suppose que votre inaptitude est d’origine non professionnelle, car sinon vous auriez droit à l’indemnité temporaire d’ mois après l’avis d’inaptitude, l’employeur doit reprendre la rémunération du salarié inapte s’il ne l’a ni reclassé, ni licencié. Cela veut dire que le salarié sera payé à la date de paie habituelle par l’employeur à partir du second solutions à la période de suspension du salaire Vous pouvez chercher un autre médecin qui veuille bien vous mettre en arrêt de travail pour les 15 jours restants de suspension du salaire, ou vous entendre avec votre employeur pour qu’il accepte que vous soyez en congés payés pendant cette cordialement. LionelMerci pour votre réponse. Robert le preux ventilateurBonjour Lionel,Il est possible d’être en arrêt maladie et c’est mieux pour vous, vous ne serez pas totalement sans ressources, mais il ne faut pas que la raison de l’arrêt soit la cause de l’inaptitude. Il existe une astuce » conseillée par la CPAM en oral, et mon médecin qui l’a pour ne pas être sans ressources c’est de rester en arrêt maladie, mais avec un arrêt dont la cause n’est pas l’ qui marche très bien c’est le syndrome dépressif, en effet la dépression peut prendre différentes formes, il n’y a pas de symptômes cliniques bien établis donc une constatation est difficile et discutable. D’autant plus que la perspective de perdre son emplois pour raison de santé entre parfaitement dans le cadre, et en plus encore les heures de sorties peuvent être autorisée et encouragées. Veillez quand même à ce que ce soit un arrêt initial, donc 3 jours non demandé à poser des congés payés durant la période où mon employeur recherchera ce poste. Mais que faire, s’il refuse ? AngelBonjour,Je viens d’être déclarée inapte par la médecine du travail, mon employeur a donc un mois pour me trouver un autre poste qu’il ne trouvera pas…. Il devra donc me licencier ; d’après le médecin du travail, il peut me licencier avant la fin de ce délai d’un demandé à poser des congés payés durant la période où mon employeur recherchera ce poste. Mais que faire, s’il refuse ?Il m’est très difficile de les joindre et je n’ai donc que très rarement des réponses… AdminBonjour,Le délai d’un mois est celui de la reprise de la rémunération après la période de suspension du salaire. L’employeur peut procéder au licenciement pour inaptitude avant la fin de ce délai et il peut aussi continuer à rechercher un reclassement au-delà du mois et dans ce cas attendre pour procéder au sûr, la reprise du salaire est fortement incitatif à procéder au licenciement avant ou à la fin du délai d’un peut accepter ou non que vous preniez des congés votre médecin traitant le considère possible, il peut vous mettre en arrêt de travail pouvez relire le texte de l’article consacré aux solutions à la suspension du salaire pendant la procédure d’ cordialement.© Licenciement pour inaptitude – La marque et le contenu du site sont soumis à la protection de la propriété intellectuelle. Le site Licenciement pour inaptitude est le 1er site complet d’expertise et conseil autour du licenciement pour inaptitude. Catégorie Indemnités, préavis et chômage. Article Solutions à la suspension du salaire pendant la procédure d’inaptitude. La thématique est celle des solutions à la suspension du salaire pendant la procédure d’inaptitude depuis jusqu’au reclassement ou au licenciement pour inaptitude. Les mots clés sont solution ; absence de salaire ; rémunération ; avis d’inaptitude ; indemnité journalière ; arrêt de travail ; congés payés ; article L 433-1 du Code de la sécurité sociale ; inaptitude salaire ; salaire ; rémunération ; inaptitude.

mon médecin ne veut pas me mettre en arrêt