LeVatican investi par l'ennemi, car ce n'est plus la Religion Catholique qui s'y trouve, mais une substitution, une Contre-Église, une intruse qui racole avec toutes les fausses religions afin Quelest le pays le plus malhonnête au monde ? Voir plus de contenu de ‎مشاهير Lweb.TV‎ sur Facebook Depuisle 12 juillet 1978, deux hymnes nationaux nous séparent comme pour nous dire que nous sommes deux peuples différents qui ont besoin de deux pays distincts. Maisà demander au citoyen lambda ce qu’il pense et sent par rapport à la démocratie à l’œuvre au Mali, il dira que c’est bien celle qui affame le peuple et qui permet aux nantis et aux crapules de sucer le sang des travailleurs maliens. Une fois encore, il faut dire que dans notre pays ceux qui travaillent n’ont rien (pas même le repas quotidien garanti) et ceux Ce pays là est tellement corrompu à un certain niveau jusqu’à ce qu’on arrive même plus à le dire. C’est ce qui fait que tout le monde est devenu un peu malhonnête dans les faits et Lesgens de pouvoir ne sont pas parfaits ce qui compte pour le peuple c’est qu’ils servent l’intérêt général et non le leur comme le font nos cupides. Autre trahison qui dirige cette Europe ce sont des Van Rompuy et Merkel et Bruxelles qui ont mis sous tutelle financière nos Etats afin de réaliser ce quatrième REICH au service du chaos programmé par les promoteurs buF5. Imam Mahmoud Dicko, ancien président du Haut Conseil Islamique du Mali Un congrès dont la marraine était Mme Cissé Assoumao Barry, tenu le 3 aout à Bamako, a surtout été une tribune pour fustiger le comportement attentiste de la population. Aujourd’hui, il est temps que nous les Maliens on se regarde les yeux dans les yeux et qu’on dise les choses par leurs noms. On a beaucoup tergiversé, il faut avancer. Le pays a longtemps tourné en rond ; depuis l’indépendance, c’est la même chose on avance et on recule. Il faut que cela s’arrête », a déclaré l’imam Mahmoud Dicko qui en était le parrain. Ce jour, l’imam Dicko s’est montré plus que jamais déterminé à jouer son rôle de veille et d’acteur de la société civile. C’était le tout premier congrès de la Fédération des associations et groupements de la société civile, et son parrain a ouvertement expliqué qu’il appartient désormais au peuple de s’assumer pour sortir le Mali de l’insécurité et de la corruption. Face à la persistance de l’instabilité, l’imam Dicko a fait savoir que le peuple doit chercher à savoir ce qui empêche le pays d’avancer. Le monde avance, nous on traine. Pourquoi on ne cherche pas la cause ? J’ai dit et je répète, nos pays ne connaissent pas de système. En Occident, c’est le système ; quiconque est choisi peut réussir. Chez nous, c’est le chef qui est responsable ; si ceux qui dirigent sont corrects le pays avance, s’ils s’arrêtent le pays s’arrête, s’ils sont malhonnêtes le pays devient malhonnête », a-t-il poursuivi. Mais c’est surtout un message politique fort que l’imam Dicko a tenu à transmettre aux congressistes et aux Maliens en général. C’est le peuple qui est détenteur de la légitimité. Il est temps qu’on impose ce qu’on croit être bon pour le pays. Les hommes politiques cherchent la légalité. Mais c’est le peuple qui détient la légitimité », a-t-indiqué. Et Amadou Coulibaly, responsable du mouvement, d’emboiter le pas au parrain en demandant l’alternance dans la gestion des affaires. Le changement, c’est des élections, le Mali étant un pays démocratique. Pour lui, il faut changer de gouvernance puisque les fondements du pays sont atteints. Notre constitution, elle n’est pas applicable depuis 2013. Quand on arrive à ce niveau, nous on pense qu’il faut une alternance. On ne dit pas un coup d’Etat mais il faut un changement profond dans ce pays, il faut changer le système, changer ceux qui ne peuvent pas faire ce travail », a-t-il affirmé. Ainsi, ceux qui sont parrainés par l’imam Dicko estiment que les citoyens doivent désormais ouvrir les yeux pour connaitre ceux qu’ils choisissent pour les gouverner. Ce pays là est tellement corrompu à un certain niveau jusqu’à ce qu’on arrive même plus à le dire. C’est ce qui fait que tout le monde est devenu un peu malhonnête dans les faits et gestes. C’est pour cela que les associations quand tu viens les voir avec 5000 ou 10 000 FCFA elles te suivent », a dénoncé Amadou Coulibaly. Enfin, les congressistes ont tenu à rappeler que les responsables qui gouvernent sont les employés, des gens qui travaillent pour le peuple. C’est nous qui les payons avec nos impôts et nos taxes, mais si on a peur d’eux, si on a peur de nous exprimer, de nous imposer, de demander ce qui s’est passé, où est notre argent, ça ne va pas », a poursuivi Mamadou Coulibaly pour qui les autorités doivent des explications sur ce qui se passe dans la région de Mopti. Soumaila T. Diarra Commentaires via Facebook Selon une étude publiée dans le magazine Nature, les Marocains sont le peuple le plus malhonnête de la planète. Un seul pays, également africain, égale le étude, menée par l’Université de Nottingham et récemment publié par l’hebdomadaire scientifique Nature, révèle que les Marocains sont le peuple le plus malhonnête du monde. Le royaume partage sa première place avec un seul pays, également africain la TanzanieLes chercheurs britanniques ont développé l’indice de "prévalence de violation des règles" pour comparer 159 pays. Pour ce faire, ils ont analysé des données officielles disponibles à partir 2003 sur la fraude politique, l’évasion fiscale et la corruption dans chacun de ces En d'autres temps, cette histoire aurait beaucoup amusé Volodymyr Zelensky. S'il n'en avait pas été le principal protagoniste, il l'aurait recyclée à coup sûr en un bon sketch, lui qui concassait du politique à longueur de programmes avec ses copains de la télé. Le pitch aurait été le suivant un comédien, soi-disant normal, est propulsé, prétendument par accident, président de l'Ukraine. Trois mois après, il reçoit le premier coup de fil de Donald Trump. Impressionné, le type en fait des tonnes pour plaire au maître des aussi - Impeachment Donald Trump se venge après son acquittementEntre deux flagorneries, il lui demande quand même où en est le versement des 400 millions de dollars d'aide militaire promis. Et l'autre de lui glisser qu'il y pense mais que ce serait aussi une bonne chose qu'une enquête soit lancée sur les activités à Kiev de Joe Biden, candidat à l'élection américaine, et de son fils. À ce chantage déguisé, le novice répond qu'un nouveau procureur va bientôt aussi - ENQUETE. Michael Bloomberg, le milliardaire qui veut détrôner Donald Trump"Volodymyr Zelensky est aussi charismatique qu'autoritaire", estime une ancienne députée de son parti Cet épisode est évidemment celui qui a valu un procès en destitution au milliardaire de la Maison-Blanche. Mais l'autre acteur au bout du fil, ce président ukrainien obséquieux et un brin amateur, Volodymyr Zelensky, donc, qui s'en est véritablement soucié? "Cette affaire n'a pas vraiment eu d'incidence ici, balaie le politologue Ruslan Bortnik. Tout le monde a compris qu'il ait voulu plaire à Trump."Peut-être. Mais ce fameux échange de juillet 2019 a pourtant marqué un tournant dans la courte carrière présidentielle de Zelensky. Pour la première fois, il a malgré lui un peu fendu l'armure. Et les poncifs qui couraient à son sujet se sont lézardés. Non, il n'est pas seulement ce saltimbanque, populiste d'un genre nouveau, caricaturé par les médias étrangers. Non, son fils de 7 ans n'est pas le seul à exercer une influence sur lui. Oui, il sait se salir les mains quand il le faut. Ceux qui l'ont rencontré ou scrutent l'animal politique qu'il est devenu savaient cela depuis longtemps. "C'est un très grand ambitieux, un négociateur redoutable, un pragmatique qui peut être très dur avec ses équipes", affirme Ruslan Bortnik. "Son image de mec cool et sympa, c'est de la poudre aux yeux, ajoute l'ancienne députée de son parti Hanna Skorokhod. Il est aussi charismatique qu'autoritaire."En bon illusionniste, l'ancien amuseur public aurait donc trompé son monde. Et si, pour tenter d'y voir plus clair, il fallait refaire son chemin à l'envers, retourner dans le passé?Il est né à Kryvyï Rih, 450 kilomètres au sud-est de KievKryvyï Rih, 450 kilomètres au sud-est de Kiev, entre Dnipro et Odessa. C'est ici, dans cette ville de gueules noires, que le bouffon devenu roi est né. "Faites un tour dans la ville et vous comprendrez pourquoi il a eu envie de se barrer", grince de bon matin Roman, vendeur de téléphones. Le brouillard épais et glacial de cet hiver sans neige n'arrange rien. On cherche un centre un peu charmant qui échapperait aux bâtiments staliniens et aux trolleybus brinquebalants. En roman officiel veut que Zelensky ait grandi dans un coin privilégié de la ville. Le quartier 95, certes central, ressemble pourtant à un territoire à l'abandon avec ses barres d'immeubles qui encerclent un terrain presque vague. Le bâtiment où a grandi Zelensky et où ses parents vivent encore desquame par endroits. Natalia, une voisine, se souvient très bien du président dans ses jeunes années, "ce gamin normal, gentil" qui jouait avec sa fille. Les parents, Oleksandre et Rimma, sont des scientifiques, produits de l'intelligentsia soviétique. Lui est prof d'informatique et travaille encore. Elle est ingénieure à la retraite. Une famille rigoriste, russophone, juive aussi, même si leur fils n'en fait jamais grand cas."Il était poli, très bien éduqué mais aussi très direct, il savait où il allait"Adolescent, Vova, le diminutif de Volodymyr que tous ses proches utilisent, fréquente le collège-lycée situé à 200 mètres de sa barre. Il y rencontre Olena, sa future épouse, qui, dit-on, a l'oreille de son président de mari. "Une brillante élève", se souvient la proviseure, la délicieuse Alla Chepilko. Zelensky lui non plus n'est pas un cancre. "Il était poli, très bien éduqué mais aussi très direct, il savait où il allait", affirme la crée en novembre 2015 Serviteur du peuple, une série à l'humour potacheSes parents l'imaginent avocat. Obéissant, Vova fait du droit, décroche son diplôme, qui ne servira à rien. Son truc, c'est la scène. Il y a pris goût au lycée lors de battles d'improvisation organisées tous les ans entre enseignants et élèves. À la fac, il crée sa troupe, Kvartal 95, avec ses éternels amis de Kryvyï Rih, qui le suivront jusqu'à la présidence. Le petit groupe participe à la finale télévisée d'un KVN, des shows d'improvisation très populaires dans l'ex-monde communiste. C'est le début de la gloire. En 2002, un producteur leur propose leur propre émission à la télévision russe. L'acteur devient une star, crée sa société de production, Kvartal 95, une affaire très vite florissante. En 2012, Forbes Ukraine évoque un revenu de 15 millions de dollars. L'acteur s'offre une villa de quinze chambres en Toscane."Il lui arrivait aussi de faire des spectacles privés pour les oligarques"À l'époque, il n'est pas exactement ce franc-tireur revendiqué. "Il connaissait personnellement tous les dirigeants de parti et tous le connaissaient", affirme le politologue Ruslan Bortnik. "Il lui arrivait aussi de faire des spectacles privés pour les oligarques", ajoute Tetyana Chevtchouk, du Centre d'action anticorruption Antac.2014 marque la fin d'une époque. À Maïdan, l'Ukraine fait sa révolution. Pendant des mois, le pays est en ébullition, Poutine annexe la Crimée, l'Est s'enflamme. Kvartal 95 coupe ses liens avec la Russie et crée en novembre 2015 Serviteur du peuple, série à l'humour potache où Vasyl Holoborodko, un simple professeur d'histoire, est bombardé président de l'Ukraine. Est-ce d'incarner ce Robin des bois qui donne des idées à Zelensky? Après des premiers sondages encourageants à l'été 2018, il se lance dans la course présidentielle le 31 de lui, il y a son équipe de Kvartal 95. Plane aussi l'ombre d'un personnage aux airs de père Noël avec sa barbe grise et son embonpoint Ihor Kolomoïsky. Il est l'un des plus redoutables oligarques du pays, propriétaire de la chaîne 1+1, sur laquelle se produit Zelensky. Les deux hommes sont proches. Trop, disent les mauvaises langues, qui accusent Kolomoïsky d'être le marionnettiste du producteur-comédien, son pourvoyeur de fonds aussi. "C'est très exagéré, corrige le politologue Ruslan Bortnik. Ce sont plutôt deux businessmen qui se sont utilisés l'un l'autre."Pendant la campagne, Zelensky entretient son image de libéral gentiment anar et d'antisystème Qu'importent les soupçons. Pendant la campagne, Zelensky entretient son image de libéral gentiment anar, d'antisystème qui ne promet rien à part d'essayer de régler le conflit du Donbass et de se débarrasser de la ploutocratie aux commandes de l'Ukraine depuis la fin de l'URSS. Un peu court, mais suffisant dans un pays où le vent du dégagisme souffle fort. Il arrive en tête du premier tour. Puis pulvérise le président sortant, Petro Porochenko, au second avec 73 % des voix! En quatre mois, Zelensky et ses copains d'enfance viennent de réaliser l'un des plus grands braquages électoraux de l'Histoire."L'entourage proche de Zelensky ne connaît rien des grands concepts politiques. Lui-même est totalement apolitique et gouverne à coups de sondages"Mais prendre le pouvoir est une chose ; savoir l'utiliser en est une autre. Selon l'expert Oleg Saakyan, c'est là où le bât blesse "L'entourage proche de Zelensky ne connaît rien des grands concepts politiques. Lui-même est totalement apolitique et gouverne à coups de sondages." Et de souligner une complète désorganisation "Au début, ils n'avaient une vision que de la veille pour le lendemain. Aujourd'hui, c'est une semaine pour l'autre. Pas davantage."Il y a tout de même un domaine dans lequel Zelensky et ses proches excellent le divertissement et la communication. Alors, sur Facebook, les vidéos se succèdent Zelensky dans sa Tesla passant au McDrive, Zelensky marchant dans la rue, Zelensky courant sur son home-trainer… "Il entretient l'image du simple gars devenu président", souligne Oleksandr Martynenko, rédacteur en chef de l'agence de presse Interfax. Au New Yorker, l'ancien comédien confie d'ailleurs être mal à l'aise avec les dorures de ses bureaux. "Ce n'est pas un endroit pour une personne normale", lâche-t‑ heures de conférence de presseZelensky sait pourtant bien qu'il ne l'est plus. Pourquoi sinon cet hypercontrôle de la communication, ce peu de foi dans les corps intermédiaires? Pourquoi tenir à l'écart les médias traditionnels? Les journalistes, eux, enragent de ce octobre, Zelensky leur offre tout de même une grande conférence de presse. Enfin, plutôt une performance où, autour d'une grande table de restaurant, les journalistes se relaient pendant… douze heures. "Record du monde!", fanfaronne l'équipe présidentielle. "Pourtant, niveau journalistique, c'était nul, se souvient Anastasia Tovt, du site d'investigation Strana. La plupart du temps, il répondait 'je ne sais pas', et interdiction de le relancer!" Son attachée de presse veille au grain. Ah, Iuliia Mendel! Un vrai cerbère qui n'hésite pas à s'en prendre physiquement aux reporters en croire Hanna Skorokhod, la brutalité serait d'ailleurs une marque de fabrique du nouveau pouvoir. Cette juriste fut, fin juillet, l'un des 254 candidats de Serviteur du peuple, le parti baptisé du nom de la série télévisée, élus à la Rada. Pour recruter ses aspirants parlementaires, le parti présidentiel a, un peu à la manière d'En marche, pioché dans le réservoir de petites mains qui ont bénévolement œuvré au succès du patron. Les prétendants avaient tout de même dû envoyer un CV et une vidéo, les Ukrainiens étaient ensuite invités à les sélectionner sur Facebook en envoyant des frénésie législative vaut à l'exécutif un surnom "le turborégime"Hanna Skorokhod fut donc parmi les heureux élus. Après sa victoire, elle participe à un séminaire de formation organisé par le parti dans une station balnéaire. Quand elle y repense, elle lève les yeux au ciel "On faisait des trucs débiles comme jouer à 'où est Charlie?' avec des images de cerf dans une forêt. Un jour, ils nous ont fait sauter en l'air pendant cinq minutes, pour créer un esprit de groupe…""Ils avaient juste besoin de gens pour appuyer sur des boutons lors des votes"La suite est, dit-elle, moins loufoque. "La veille de la rentrée parlementaire, on nous a rassemblés dans une salle en sous-sol de la Rada pour nous dire 'Vous savez à qui vous devez votre place ici, donc faites ce qu'on vous dit!'" La jeune femme tombe de haut. "Ils avaient juste besoin de gens pour appuyer sur des boutons lors des votes." Elle renâcle. On la menace. "On va monter un dossier contre toi", prévient le chef du groupe. Devant son obstination, la sanction tombe elle est virée du mouvement et son époux, un Russe, est arrêté. Anton Polyakov, autre député exclu de Serviteur du peuple, résume ainsi son expérience au sein du parti au pouvoir "Une dictature."Certains appelleront cela simplement de la discipline de parti. Et Zelensky en a besoin tant il veut faire passer de lois. Cette frénésie législative vaut à l'exécutif un surnom "le turborégime". Le Suédois Anders Aslund, l'un des spécialistes mondiaux des économies postsoviétiques, en reste admiratif "Que ce soit sur le marché foncier, la privatisation d'entreprises publiques, le système judiciaire, il y a eu plus de réformes en quelques mois que pendant des années."Deux dossiers prioritaires la guerre dans le Donbass et la lutte contre la corruptionParallèlement, Zelensky s'attaque à deux dossiers prioritaires. Le premier, c'est la guerre dans le Donbass, cette région tenue par les séparatistes soutenus par la Russie et où plus de personnes sont mortes en près de six ans. Alors que son prédécesseur instrumentalisait le conflit, Zelensky semble désireux de le régler. Il échange des prisonniers avec Moscou, procède au retrait de soldats de la ligne de front. L'ancien comédien pousse aussi pour un sommet où il pourrait rencontrer Poutine. Il a lieu à Paris en décembre. D'après plusieurs témoins, le jeune président ne se laisse pas impressionner par son homologue russe et refuse les plans préétablis par le Kremlin."Même s'ils sont jeunes et ne savent pas vraiment comment procéder, le président et les ministres ont de bonnes intention"L'autre grande affaire de Zelensky, c'est la lutte contre la corruption. Il incite les députés à voter la fin de leur immunité parlementaire, purge le bureau du procureur général, fait adopter un texte sur l'enrichissement illégal. "Même s'ils sont jeunes et ne savent pas vraiment comment procéder, le président et les ministres ont de bonnes intentions", affirme Oksana Velichko, dont l'initiative citoyenne Ensemble contre la corruption collabore avec une bonne partie du s'attaquer seul à ce fléau en Ukraine, c'est vouloir vider la mer Noire à la petite cuillère. Bien sûr, il y a les lois. Encore faut-il qu'elles soient appliquées par une administration accoutumée aux pots-de-vin. "Ces dessous-de-table s'expliquent notamment par les salaires trop bas des fonctionnaires, reprend Oksana Velichko. Mais l'État n'a pas les moyens de les augmenter." Et puis le pays ne se résume pas à Kiev. Les régions sont des baronnies où oligarques et gouverneurs règnent sans partage. "Pourtant, le parti ne cherche pas à y recruter de troupes, reproche Anton Polyakov, le parlementaire répudié. Zelensky ne construit aucune verticale du pouvoir."Zelensky a surtout face à lui un système opaque et tout-puissant, celui des oligarquesIl a surtout face à lui un système opaque et tout-puissant, celui des oligarques. Après sa victoire, il a affirmé qu'il leur ferait payer leur dû. Une gageure. Voire un mensonge. "À cause du compromis passé avec eux pour virer Porochenko, Zelensky est arrivé pieds et poings liés à la présidence", affirme Ruslan Bortnik. Selon l'analyste, le pouvoir actuel serait composé d'une mosaïque d'intérêts que l'ancien comique parvient pour l'instant à faire converger. Si une partie de l'administration présidentielle est composée de proches, une autre est fidèle à Kolomoïsky, qui contrôlerait aussi plusieurs dizaines de Pintchouk, un autre milliardaire – plus discret mais tout aussi influent –, disposerait de son propre réseau au sein de l'État. Enfin, un homme serait quasi hors de contrôle le ministre de l'Intérieur, Arsen Avakov, déjà en poste sous Porochenko. "Tant qu'il est là, il n'est pas possible de réformer les forces de sécurité, pourtant notoirement corrompues", accuse Tetyana Chevtchouk. Il est soupçonné d'avoir prise sur les divers groupes d'extrême droite du pays. Un geste de sa part et ils descendent dans la rue. "Mieux vaut l'avoir avec soi que contre soi", note, pragmatique, un observateur européen."Vous le voyez refaire des sketches? Il ne ferait plus rire personne"La coexistence de ces différentes forces n'est cependant pas sans conséquences "Elles passent leur temps à s'entre-tuer, à sortir des affaires les unes contre les autres", regrette Oleksandr Martynenko, le rédacteur en chef ­d'Interfax. La mise au jour, mi-­janvier, d'un enregistrement sauvage du Premier ministre en est l'illustration. Oleksi Hontcharouk y affirmait que Zelensky n'y entendait "rien à l'économie". Un peu le président a refusé sa démission. Est-ce à cause de cette crise, ou de celle de l'avion d'Ukraine International Airlines abattu en Iran quelques jours auparavant? Zelensky semble ces dernières semaines moins "virtuel", frappé d'une certaine gravité. "Je ne fais confiance à personne", lâchait-il déjà en décembre à plusieurs journaux occidentaux. Il a ainsi tranché dans le vif dernièrement en limogeant Andriy Bohdan, le puissant chef de l'administration présidentielle. D'aucuns y ont vu un coup porté à Kolomoïsky, son prétendu mentor, dont Bohdan est proche. Déjà le président n'avait pas penché en faveur de l'oligarque dans l'affaire PrivatBank qui l'oppose à l'État. "Kolomoïsky est désormais presque en opposition ouverte", explique Anders Aslund. Si cela est vrai, les quatre années qui restent au jeune chef de l'État avant la fin de son mandat seront a promis qu'il ne rempilerait pas derrière. Que fera-t‑il alors? Retournera-t‑il à la télévision? "Ça m'étonnerait, anticipe Ruslan Bortnik. Vous le voyez refaire des sketches? Il ne ferait plus rire personne." Peut-être même est-ce déjà le cas. Moussa Diarra, député élu du RPM en commune IV La démission du Premier ministre Soumeylou Boubèye Maïga est réclamée par Moussa Diarra, élu du Rassemblement pour le MaliRPM en commune IV du district de Bamako. La foule qui est sortie le vendredi 5 avril, même si c’est une minorité, c’est le peuple ; il faut leur accorder un crédit », a déclaré le parlementaire auteur d’une lettre ouverte demandant au Premier ministre de démissionner. Dans une interview qu’il nous a accordée, Moussa Diarra a expliqué les raisons de cette lettre ouverte. Ce n’est pas venu de quelqu’un d’autre ; et dire que c’est s’attaquer à la personne de Soumeylou, ce n’est pas cela », a-t-il raconté en précisant qu’il s’agit du Mali qui est au bord de l’effondrement politique depuis plusieurs mois. L’élu du parti au pouvoir a fait savoir que le Mali traverse quelques crises qui se sont accentuées ces dernières semaines. Il s’agit de l’insécurité au nord et centre dont un aspect est le drame survenu à Ogossagou dans le cercle de Bankass avec l’exécution de plus de 170 civils Peul. Une autre crise évoquée par Moussa Diarra est l’enlisement du front social, notamment la grève des enseignants. L’Assemblée nationale du Mali a interpellé le gouvernement sur ces deux crises et a formulé des résolutions afin qu’un terrain d’entente soit trouvé. Mais on constate que ces résolutions n’ont pas été respectées par le gouvernement », a déploré le député. En plus des constats sur le refus du gouvernement de se conformer aux résolutions des députés, Moussa Diarra a estimé qu’il y a une crise de confiance entre le peuple et le Premier ministre. Nous avons vu le 5 avril une mobilisation du peuple malien ; ce peuple que nous représentons demande le départ de Soumeylou », a-t-il dit. C’est pour cette raison que le député élu en commune IV a demandé la démission du Premier ministre. Pour lui, ce serait un suicide d’aller aux reformes constitutionnelles dans ces conditions où il n’y a pas d’entente entre les Maliens. Ce n’est pas parce que nous sommes de la majorité que nous allons nous asseoir pour regarder notre avenir partir à vau-l’eau », a-t-il affirmé. Le combat que mène la majorité aujourd’hui n’est pas destiné contre la personne de Soumeylou, selon Moussa Diarra. Si ça ne tenait qu’à moi, il faudra amener comme Premier ministre quelqu’un de consensuel, un homme au-dessus d’un parti politique et qui peut rassembler les Maliens autour d’un projet commun », a-t-il souhaité. Soumaila T. Diarra Commentaires via Facebook +3Ferdinand de TalmontMonsieur TrololoPanzerjäger7 participants Re Banni abusivement par Prince le malhonnête par Panzerjäger Jeu 26 Aoû 2021 - 2137D'accord mais je veux reprendre possession de mon vrai compte originalPanzerjägerprovisoirement débanniMessages 174Date d'inscription 02/08/2012Age 63 Re Banni abusivement par Prince le malhonnête par Plaristes Evariste Ven 27 Aoû 2021 - 350Bisounorus nazis?6 plus de gros mot alors que j'en utilise copieusement. En essayant de viser personne et quand j'insulte j'évite que ça soit personnel, mais plus pédagogique.Ça va pas le faire, c'est pas les gros mort le problème ! Re Banni abusivement par Prince le malhonnête par oscarire Ven 27 Aoû 2021 - 606Monsieur Trololo a écritC'est quoi votre compte principal ?Bonjour Trololo!Il a compte à la société Générale... un compte au CIC... un compte au crédit problème il est à découvert d'un manque rédactionnel, pas bon du tout pour son crédit ! Re Banni abusivement par Prince le malhonnête par Marie-Pauline de Crécy Dim 20 Mar 2022 - 1624Prince a écritAlors il ne faut plus dire de gros vous me permettez, mon cher Prince, de me faire l'avocate de notre ami provisoirement débanni et qui a eu au cours un comportement irréprochable au cours de sa liberté conditionnelle, et quoique l'idée de ne pas de gros mot soit en soi louable, elle me parait sommes en effet dans un contexte particulier où des hordes barbares parcourent nos villes et villages de France autrefois si tranquilles, sommant le peuple terrorisé de se mettre à parler sa langue, composée essentiellement de gros mots, au sens propre comme au sens comment notre ami pourrait-il à la fois se conformer aux exigences de ces envahisseurs que votre noblesse s'est plu à laisser franchir nos frontières dans un souci d'affichage de royaume cosmopolite ou du fait d'un manquement dedans leur tour de garde et à la fois parler et en public la langue du vieux françois, sans y risquer - si ce n'est sa vie - rude molestage ?Dernière édition par Winipinkibubonepakolé le Dim 20 Mar 2022 - 1635, édité 1 fois Re Banni abusivement par Prince le malhonnête par Marie-Pauline de Crécy Dim 20 Mar 2022 - 1625oscarire a écritMonsieur Trololo a écritC'est quoi votre compte principal ?Bonjour Trololo!Il a compte à la société Générale... un compte au CIC... un compte au crédit problème il est à découvert d'un manque rédactionnel, pas bon du tout pour son crédit !Tiens ! Votre réputation en a pris un coup vous devriez bientôt sortir de prison. Re Banni abusivement par Prince le malhonnête par Jeanlouis12 Dim 20 Mar 2022 - 1741Winipinkibubonepakolé a écritPrince a écritAlors il ne faut plus dire de gros vous me permettez, mon cher Prince, de me faire l'avocate de notre ami provisoirement débanni et qui a eu au cours un comportement irréprochable au cours de sa liberté conditionnelle, et quoique l'idée de ne pas de gros mot soit en soi louable, elle me parait sommes en effet dans un contexte particulier où des hordes barbares parcourent nos villes et villages de France autrefois si tranquilles, sommant le peuple terrorisé de se mettre à parler sa langue, composée essentiellement de gros mots, au sens propre comme au sens comment notre ami pourrait-il à la fois se conformer aux exigences de ces envahisseurs que votre noblesse s'est plu à laisser franchir nos frontières dans un souci d'affichage de royaume cosmopolite ou du fait d'un manquement dedans leur tour de garde et à la fois parler et en public la langue du vieux françois, sans y risquer - si ce n'est sa vie - rude molestage ?Bien plaidé, cher Maître j'ose pas écrire maîtresse, mais je ne sais pas si notre Prince du forum sera accessible au fond de votre plaidoirie.. Re Banni abusivement par Prince le malhonnête par Marie-Pauline de Crécy Dim 20 Mar 2022 - 1836Jeanlouis12 a écritWinipinkibubonepakolé a écritPrince a écritAlors il ne faut plus dire de gros vous me permettez, mon cher Prince, de me faire l'avocate de notre ami provisoirement débanni et qui a eu au cours un comportement irréprochable au cours de sa liberté conditionnelle, et quoique l'idée de ne pas de gros mot soit en soi louable, elle me parait sommes en effet dans un contexte particulier où des hordes barbares parcourent nos villes et villages de France autrefois si tranquilles, sommant le peuple terrorisé de se mettre à parler sa langue, composée essentiellement de gros mots, au sens propre comme au sens comment notre ami pourrait-il à la fois se conformer aux exigences de ces envahisseurs que votre noblesse s'est plu à laisser franchir nos frontières dans un souci d'affichage de royaume cosmopolite ou du fait d'un manquement dedans leur tour de garde et à la fois parler et en public la langue du vieux françois, sans y risquer - si ce n'est sa vie - rude molestage ?Bien plaidé, cher Maître j'ose pas écrire maîtresse, mais je ne sais pas si notre Prince du forum sera accessible au fond de votre plaidoirie..Peut-être notre cher Prince ne se rend t-il pas compte que ces hordes tumultueuses font bien plus qu'entretenir le chahut elles insultent, molestent, volent, pillent et même tuent, de manière la plus abjecte et fourbe qui soit, pour s’immiscer au près plus du pouvoir du Prince noir en son temps fît déjà de fortes troublantes incursions dans nos contrées civiles qui démontrèrent au monde un pouvoir qui vacille, je crains que celles-là soit de bien triste augure pour le règne de notre majesté et honneur à la fois que j'invite par ailleurs à consulter les textes sur le cumul des mandats.Aussi l'inviterais-je à se pencher sur le fonds plus que sur la forme, qui peut ma foi subir dommage au front. Re Banni abusivement par Prince le malhonnête par Marie-Pauline de Crécy Dim 20 Mar 2022 - 2117Je ne suis pas petite sœur des pauvres, loin de moi cette idée !Je n'aurais pas cette incorrection c'est bien trop m'aide ici moi-même en décrivant ce à quoi nous sommes confrontés en canon, peut-être, mais tous bien sûrement. Sujets similairesPermission de ce forumVous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum

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